Simon Epstein : « On ne peut pas être antiraciste en diaspora et raciste en Israël »

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-CHRONIQUES POUR LA PAIX –

S’agissant d’Israël, il est difficile de trouver un sujet d’actualité qui ne soit pas écrasé par la forte et longue mobilisation des citoyens israéliens contre la réforme judiciaire du gouvernement Netanyahou. Tous ceux qui marchent chaque shabbat dans les villes du pays la considèrent comme une attaque à l’encontre de leurs institutions démocratiques conduisant à un changement de régime autoritaire. Cependant, juste avant les grandes commémorations nationales de yom ha Shoa, yom haatsmaout et yom hazikaron, une vieille affaire revient sur le devant de la scène. Il s’agit de la polémique entre Israël et la Pologne concernant les visites mémorielles sur les lieux de l’assassinat du peuple juif. Elles avaient été annulées car les deux pays ne s’accordaient pas sur leurs interprétations et leurs modalités. Or, un accord vient d’être signé qui relance ces voyages du souvenir, accord immédiatement critiqué par les responsables de Yad Vachem et par Yaïr Lapid, lui même fils de rescapé de l’extermination et leader de l’opposition à Netanyahou.

Sur une question très sensible, que révèle cette crise dans la crise ?

SIMON EPSTEIN répond aux questions de PAUL OUZI MEYERSON afin d’en expliquer les enjeux !

 SIMON EPSTEIN est docteur en sciences politiques. Historien, il a enseigné à l’Université Hébraïque de Jérusalem. Il est l’auteur de plusieurs livres sur le peuple Juif ainsi que sur l’antisémitisme européen. Il a publié, notamment, «Les chemises jaunes, l’extrême droite raciste en Israël». Son dernier ouvrage, édité aux éditions Stock, s’intitule : «1930, une année dans l’histoire du peuple juif».

 

CLIQUER SUR LE LIEN CI-DESSOUS POUR ÉCOUTER L’ÉMISSION SUR RADIO SHALOM  (94.8 fm) 

 

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