Benjamin Netanyahu n’est plus Premier ministre mais il n’a pas disparu pour autant, loin s’en faut, de l’arène politique israélienne. Son départ du pouvoir, en juin 2021, n’a pas marqué la fin du “bibisme”.
Au cours des 30 années durant lesquelles il a été un acteur majeur de la vie politique du pays, l’idéologie qu’il a promue a fortement imprimé sa marque sur la société israélienne “qui n’a pas résisté à la vague illibérale : l’État juif est devenu un régime ultraconservateur qui a renforcé ses racines ethno-religieuses et affiché une tendance autoritaire tout en continuant à chercher sa légitimité dans les urnes”. Inégalités sociales et clivages perdurent de même que le blocage d’avancée d’une solution politique au conflit israélo-palestinien.
Au cours des 30 années durant lesquelles il a été un acteur majeur de la vie politique du pays, l’idéologie qu’il a promue a fortement imprimé sa marque sur la société israélienne “qui n’a pas résisté à la vague illibérale : l’État juif est devenu un régime ultraconservateur qui a renforcé ses racines ethno-religieuses et affiché une tendance autoritaire tout en continuant à chercher sa légitimité dans les urnes”. Inégalités sociales et clivages perdurent de même que le blocage d’avancée d’une solution politique au conflit israélo-palestinien.
Compte tenu du role qu’il peut être amené à jouer encore à l’avenir, lui ou le camp qui le soutient, il importe de tirer un bilan, même partiel compte tenu du recul limité dont on dispose, des “années Netanyahu”. C’est à cet exercice que se livrera Jacques Bendelac, à partir de son tout récent ouvrage, au cours de la rencontre organisée en présentiel par le Cercle Bernard Lazare, La Paix Maintenant et JCall, le jeudi 30 juin à 20h30 (cafeteria avec possibilité de se restaurer sur place dés 19h)
Jacques BENDELAC, docteur en économie, chercheur en sciences sociales à Jérusalem, auteur de nombreux ouvrages sur la société israélienne et les relations israélo-palestiniennes.
*10 rue Saint Claude 75003 Paris (métro Saint Sébastien Froissart)
PAF : 5 €, gratuit pour les adhérents à jour de cotisation