CHRONIQUES POUR LA PAIX- Faut il être chef de Tsahal ou général pour faire de la politique aujourd’hui en Israël ? ARIE AVIDOR, ancien ambassadeur de l’état hébreu et consultant diplomatique répond aux questions de Paul Ouzi Meyerson.
CLIQUER SUR LE LIEN (flèche) CI-DESSOUS POUR ECOUTER L’EMISSION SUR Judaïques FM (94,8)
Les élections législatives en Israël auront lieu le 9 avril prochain. D’ors et déjà les grandes manœuvres de candidats et de partis sont lancés. Pour l’instant, contre Benyamin Netanyahou et le Likoud, la principale formation de droite, les nouveaux challengers sont d’anciens chefs d’état major de Tsahal : Benny Gantz et Moché Yaalon qui, l’un et l’autre , se positionnent au centre.
Ce n’est pas la première fois que d’anciens militaires se jettent dans la bataille politique, loin de là ! Il y a eu de fameux précédants : Moché Dayan, Itsrak Rabin, Ariel Sharon, Shaoul Mofaz, Ehoud Barak, et d’autres encore… Alors, pourquoi les hauts gradés jouent ils un rôle si important dans la vie politique israélienne. Faut-il en déduire une certaine militarisation de la société ?
ARIE AVIDOR nous éclaire sur ce phénomène paradoxal de l’Etat hébreu.
ARIE AVIDOR a été Ambassadeur d’Israël en Europe et dans plusieurs pays africains. Aujourd’hui, il intervient comme consultant politique dans les médias israéliens et internationaux.